Du début à la fin de ces hostilités souterraines, on comptera plus de 500 conflagrations de gros calibres, 66 kilos d’explosifs au mètre carré. En quatre ans, les Français perdront 7 000 hommes, les Allemands 8 000.
Un carnage. Ce siège souterrain relève davantage de la guerre psychologique que de l’offensive véritable. La canonnade perpétuelle rend fou les soldats.