LES 102 ANS DE LA FIN DE LA BATAILLE DE VERDUN.
« Tout le long de la route qui mène aux premières lignes, des blessés nous appellent, mais le devoir est d’aller au combat. Nous passons près de deux chevaux qui ont les deux pattes de derrière brisées ; ils sont dressés sur leurs pattes de devant et hennissent d’une voix aux intonations humaines comme pour réclamer du secours. »