Pas plus que les poilus. Le taux de mortalitĂ© Ă©tait quasiment le mĂŞme. Il est lĂ©gèrement supĂ©rieur pour les troupes d’Afrique, une armĂ©e d’Ă©lite, qui a immĂ©diatement combattu en prenant tous les risques.
Propos du professeur d’Histoire Contemporaine Ă l’universitĂ© Paris-I PanthĂ©on-Sorbonne.